

La RIAA perd un procès
La RIAA (Recording Industry Association of America) chargée de défendre les intêrets des Majors, notamment fâce aux pratiques illégale de type échange de fichiers soumis à Copyright au travers de réseaux P2P, vient de subir un cuisant revers en justice.
Il faut en effet savoir que la grande quantité de procès lancés par l'association n'est que la partie visible de l'iceberg : une grand nombre d'actions en justice n'ont pas eu lieu, les personnes visées ayant préféré céder devant les menaces en réglant le conflit à l'amiable (entendez ici un gros chèque signé en faveur des Majors).
Mais il faut savoir que tous les procès entamés par la RIAA ne sont pas gagnés d'avance. A titre d'exemple, voici l'histoire de la petite famille Foster :
Courant Juillet 2005, Deborah Foster et sa fille, Amanda Foster, se voient accusés d'avoir téléchargé illégalement des morceaux de musique. La RIAA leur réclame la rondelette somme de 5000$ afin d'éviter un éventuel procès. Décidé à se défendre, Mme Foster refuse et choisit de faire fâce au procès. Lors de celui-ci, elle a alors demandé à la RIAA de prouver ses dires, en communiquant notamment les dates des téléchargements ainsi que les noms précis des fichiers téléchargés. L'association n'a pas été dans la mesure de fournir ces informations et fut donc déboutée de sa plainte.
Mais l'histoire ne s'arrête pas à cet échec. Bien décidé à aller plus loin, la famille Foster a décidé de contre attaquer en assignant la RIAA en justice poru procédure abusive. L'arroseur se retrouve arrosé - et condamné, celà est confirmé -, et en passant soulagé de quelques dollars.
Mieux vaut donc toujours vérifier les dires du plaignant plutôt que de se précipiter sur un éventuel accord à l'amiable. Voici en tout cas quelque chose qui ne devrait pas redorer le blason de la RIAA.
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