

4 mois de prison avec sursis pour un Camcorder
Le production de copies pirates de films n'est pas forcément exempt de tous risques. En effet, une affaire rapportée par le journal Ouest France, laisse entendre qu'un particulier s'est vu condamné à quatre mois de prison et un euro symbolique d'amende pour avoir tenté de pirater un film en salle de projection.
La personne incriminée avait filmé au caméscope la projection du film Bangkok Dangerous en Aout 2008. Dénoncé aux autorités par le cinéma où il a été pris en flagrant délit, le jeune homme agé de 22 ans avoué avoir l'intention de partager sa copie sur les réseaux P2P à condition que celle-ci soit de bonne qualité.
Néanmoins, on peut encore se poser quelques questions sur ce type de pratique. En effet, aujourd'hui les films intègrent de plus en plus d'effets spéciaux, et des titres comme Avatar de James Cameron laissent entrevoir des possibilités techniques et visuelles quasiment infinies.
Les spectateurs préfèreront toujours aller voir de tels films au cinéma, sur écran géant, plutôt que sur le petit écran de leur ordinateur. Le seul obstacle - qui favorise encore aujourd'hui incontestablement le piratage de films récents - restant aujourd'hui le prix prohibitif des places de cinéma, qui dépasse aisément les 10 euros pour une projection en 3D.
Tututu, certains screener ressemblent à s'y méprendre à un divx qualité dvd ! C'est rare, mais ça existe ! Maintenant, le prix... cela n'a-t-il pas toujours été le problème face au piratage ?