Au regard des enceintes de confinement utilisées pour "maîtriser", "contrôler" de la réaction, de la fusion nucléaire ont peu toujours se demander si il n'y a réellement aucun risque "d'emballement". La mise en oeuvre de boucliers magnétiques aussi important pour une expérimentation à si petite échelle est tout de même le signe que cette technologie n'est pas sans aucuns risques... Et quid du tritium ? Résultant de la fusion.

Mais la France qui est leader mondial au niveau du nucléaire manque certainement d'objectivité à ce sujet. Je pense que ce qui manque le plus à notre humanité c'est la modestie face à cet inconnu.

Notre cher Albert Einstein (honte à moi !) après les explosions des bombes atomiques au Japon (un peu à cause de son soutient) n'a cessé de lutter contre cette technologie jusqu'à la fin de sa vie.

Mais la théorie est belle, une énergie théoriquement propre, mais ce n'est réellement pas le cas.

La technologie ne doit pas être le moteur de l'humanité, et recréer artificiellement des équilibre tout en continuant à déséquilibrer me paraît tout de même assez stupide. Notre mince bouclier protecteur (l'atmosphère avec la couche d'ozone entre autres éléments) est le témoin de l'irresponsabilité de nos scientifiques, et de l'empirisme de leur expérimentations. Le résultat est aujourd'hui catastrophique au niveau planétaire, et si les choses sembles s'améliorer, les dégâts et leurs retombées directes sont belle et bien là et pour longtemps !

Et je ne parle pas de la baisse de la fécondité et autres joyeuserie, malformations, etc, dues à nos chimistes et leurs molécules...

Alors oui à la science mais pas à n'importe quel prix. Nous sommes tous sur la même barque au milieu de l'océan infini qu'est l'univers, et quelques uns au prétexte de progrès et d'évolution font des expériences sur notre navire, un trou par ci, un trou par là. En déclarant pour le moment on flotte encore...

Il a fallu des millions d'années à notre planète pour capturé le co2 et nos apprentis sorciers chimistes on trouvé le moyen de libérer ces tonnes de toxique pour la viabilité humaine et animale de notre atmosphère. Aujourd'hui on lorgne sur les réserves "infinies" d'hydrates de gaz des grands fonds marins pour remplacer le pétrole. Mais quid du co2 rejeté par l'usage de ce produit. Nous verront plus tard sans doute ; mais alors à quoi bon tant d'énergie cérébrale perdu dans des impasses connues ?

Ce débat est sans fin, et je ne voudrais pas passer pour un obscurantiste rétrograde, je n'ai rien contre les sciences, mais nos "cerveaux" (scientifiques) sont mal utilisés.

Quoi qu'il en soit l'échange est intéressant même si les approximations sont partagées.

Le tritium, même s'il peut être un résultat de la fusion, est (ré)utilisé pour produire de l'hélium.

C'est bien Albert Einstein qui a milité pour le désarmement atomique (et son implication dans l'histoire de la bombe atomique est vraiment modéré : il aurait simplement écrit une lettre à Roosvelt pour émettre une possibilité de fabriquer de telles bombes). Alfred est un musiscien assez renommé, d'après ce que j'ai pu lire

Je ne suis pas d'accord avec toi, Calou.
Les scientifiques font leur boulot, découvrent de nouvelles choses plus ou moins écologiques, certes. Ce n'est pas eux qu'il faut accuser, ils font simplement des découvertes, qui sont plus ou moins bien utilisées. D'autre part, il découvrent aussi des choses tout à fait pratiques, qui ne polluent pas, etc... La recherche est ce qu'elle est, la manière de s'en servir peut peu-être changer, oui.
Au début, on s'en rendait pas bien compte, mais maintenant, le message écologique semble être en train de passer.
Le "progrès" serait maintenant de réduire les pollutions diverses en tentant de maintenir l'efficacité des produit. Une fois ce stade dépassé, nous continuerons à nous dévellopper, par l'invention de procédés/machines... moins polluantes. La conscience écologique pointe bien, il n'est pas trop tard, espérons qu'elle se renforce et qu'elle permette un dévellopement sans compromis.