Re: Jailbreak qui tourne mal
Publié: Jeu Juil 18, 2013 21:23< HISTORICAL MODE ON >
Bein... encore une fois, je dois dire STOOOOP!!!
Non seulement le terme de hacker existait (sans avoir la connotation actuelle) mais les clones Mac ont été une bouée pour Apple qui prenait l'eau de toutes parts, même si, finalement, c'était une bouée percée...
Cependant, tous les clones étaient prévus pour tourner sur Mac OS, vu que les ROMs étaient fournies par Apple. Le hic, c'est qu'avec une telle diversité de machines (visez la gamme Performa), des puces différentes et dissonantes (PowerPC 601, 602, 603, 603e) et des adaptations système avec ces scrogneugneu de enablers qui rendaient un système boiteux, voire quasi incompatible avec celui d'une autre machine...)
C'est devant ce marasme que Steve Jobs, appelé à la rescousse a défini une politique et une seule : la sienne. Epurer la marque, la ligne, le catalogue et taper fort, très fort. Après on connait la suite...
Par chance, ce "bonhomme" savait se servir de ce qu'il avait entre les oreilles, contrairement à d'autres qui voulaient nous faire des interfaces modifiables à souhait mais sans rien apporter de nouveau.
Et, si singer Toutpetitmou a été une erreur tactique, Steve Jobs a quand même su convaincre (après des heures de tractations) Bill Gates d'injecter 150 millions de dollars, malgré le parterre d'aficionados pétrifiés d'horreur et huant Billou et sa boîte lors de la MacWorld Expo de Boston en 1997. Pour la petite histoire, Jobs confiera à son biographe que le moment où Bill Gates apparaît sur un écran géant devant un Steve Jobs minuscule a été, de l'avis de ce dernier, "la pire et la plus stupide erreur de toute sa vie"… Cependant, par cet "arrangement", il a sauvé Apple. Ou, du moins, il lui a évité la faillite.
Si le temps a donné raison à Steve Jobs, il ne faut pas, non plus, oublier que la direction d'Apple, a aussi sabré dans l'héritage de la marque pour ne pas s'encombrer de choses qui auraient pu faire de l'ombre à sa vision. Et ce sont des milliers de clients qui ont vu leur Apple II, pilier de la marque, passer aux oubliettes de l'Histoire…
Mais Apple est toujours là. Même si d'aucuns disent qu'elle s'est muée en Big Brother de la pub "1984".
Y aurait-il dans la salle, une jolie blonde en cuissettes rouges et T-Shirt blanc pour nous délivrer ?
<HISTORICAL MODE OFF >
Bein... encore une fois, je dois dire STOOOOP!!!
Non seulement le terme de hacker existait (sans avoir la connotation actuelle) mais les clones Mac ont été une bouée pour Apple qui prenait l'eau de toutes parts, même si, finalement, c'était une bouée percée...
Cependant, tous les clones étaient prévus pour tourner sur Mac OS, vu que les ROMs étaient fournies par Apple. Le hic, c'est qu'avec une telle diversité de machines (visez la gamme Performa), des puces différentes et dissonantes (PowerPC 601, 602, 603, 603e) et des adaptations système avec ces scrogneugneu de enablers qui rendaient un système boiteux, voire quasi incompatible avec celui d'une autre machine...)
C'est devant ce marasme que Steve Jobs, appelé à la rescousse a défini une politique et une seule : la sienne. Epurer la marque, la ligne, le catalogue et taper fort, très fort. Après on connait la suite...
Par chance, ce "bonhomme" savait se servir de ce qu'il avait entre les oreilles, contrairement à d'autres qui voulaient nous faire des interfaces modifiables à souhait mais sans rien apporter de nouveau.
Et, si singer Toutpetitmou a été une erreur tactique, Steve Jobs a quand même su convaincre (après des heures de tractations) Bill Gates d'injecter 150 millions de dollars, malgré le parterre d'aficionados pétrifiés d'horreur et huant Billou et sa boîte lors de la MacWorld Expo de Boston en 1997. Pour la petite histoire, Jobs confiera à son biographe que le moment où Bill Gates apparaît sur un écran géant devant un Steve Jobs minuscule a été, de l'avis de ce dernier, "la pire et la plus stupide erreur de toute sa vie"… Cependant, par cet "arrangement", il a sauvé Apple. Ou, du moins, il lui a évité la faillite.
Si le temps a donné raison à Steve Jobs, il ne faut pas, non plus, oublier que la direction d'Apple, a aussi sabré dans l'héritage de la marque pour ne pas s'encombrer de choses qui auraient pu faire de l'ombre à sa vision. Et ce sont des milliers de clients qui ont vu leur Apple II, pilier de la marque, passer aux oubliettes de l'Histoire…
Mais Apple est toujours là. Même si d'aucuns disent qu'elle s'est muée en Big Brother de la pub "1984".
Y aurait-il dans la salle, une jolie blonde en cuissettes rouges et T-Shirt blanc pour nous délivrer ?
<HISTORICAL MODE OFF >
